Mathilde Laurent : « Avec l’Heure perdue, je voulais créer un parfum chimique avec une impression de parfum du XIXe siècle »
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 14 heures
L’actuelle version EDP, testeur neuf en grand magasin, n’est franchement pas à négliger. Moins(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Je trouve cette interview intéressante, même si j’ai, malgré les nombreuses années où j’ai tenté d’étendre ma culture olfactive, encore du mal à imaginer porter un parfum entièrement construit à partir de molécules de synthèse. Pourtant, j’ai bien en tête les arguments du dossier, mais c’est étrange, je ne parviens pas à dépasser ma réticence première- Même si par ailleurs, je ne cherche pas non plus le "tout naturel".
Toutefois, le concept est intéressant, et j’ai particulièrement aimé le premier essai de L’Heure chimique, il me fait un peu le même effet que les brouillons d’écrivains qu’on peut trouver sur la BnF. A ceci près qu’un autre aspect lui donne à mes yeux un charme supplémentaire : je ne comprends pas tout, et du même coup, l’Heure perdue est un peu à mes yeux l’Heure mystérieuse !