Mathilde Laurent : « Je voulais créer un parfum chimique avec une impression de parfum du XIXe siècle »
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
hier
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Je l’ai déjà dit à maintes reprises, j’admire énormément le travail de Mathilde Laurent. J’admire énormément Mathilde Laurent.
A l’heure ou Chanel ou Dior (Argh, j’ai écrit Dior) ouvre ses ateliers aux caméras pour que le public constate et convoite le savoir-faire maison, il est toujours rare qu’un parfumeur dévoile sa démarche, ses ingrédients, ses formules.
Quel plaisir donc de lire un article qui va un peu plus loin. De lire les mots d’une artiste qui joue élégamment du mystère de son métier.