Fifi Awards 2018, les résultats
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Entre retour en enfance et évocation solaire, MarieJeanne rend un bel hommage à la bergamote. Souvent cantonné aux notes de tête, l’agrume occupe ici le centre d’une composition à la fois simple et surprenante.
il y a 14 heures
Dans les années 80, les parfums avaient du coffre. Ils sentaient le cuir, la mousse, l’audace.(…)
il y a 14 heures
Shalimar L’Essence, véritable chef-d’œuvre de l’escroquerie olfactive. Un parfum qui ose s’appeler «(…)
il y a 2 jours
Bonjour, Dans les années 70/80, tout le monde fumait et nos amis américains nous ont influencé.(…)
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Bonjour mara !
Pardonnez moi également de tant tarder à vous répondre. Votre analyse également très fouillée complète fort bien celle d’Aberystwyth !
Vous avez raison d’insister sur le contraste opéré par le patchouli. Ce bois est très "caméléon " : il peut prendre des accents très surprenants selon la "matière" à laquelle il est apposé/opposé. Contrairement à vous, j’adore l’iris. C’est lui qui "dompte" ici le côté parfois brutal du patchouli en l’enveloppant avec l’ambrette dans une étoffe poudrée de toute beauté.
Mais j’avoue ne faire aucun lien direct avec le N°19, un de mes jus favoris. Le 19 est décidément floral, lisse, poudré lui aussi avec une jolie profondeur cuirée un peu étrange et unique en son genre. C’est peut-être sur cet aspect sophistiqué, froid et poudré que je leur trouve une parenté.
Quant à l’appellation Terre d’Iris, c’est déjà le nom d’un parfum de Miller Harris, proche du premier Kenzo.
Enfin, vous êtes la première personne avec qui je sois en contact qui connaisse aussi bien autant de jus de la marque Armani privé. Heureuse inspiration !