IFRA 45, la saga continue
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Héliodose se propose de connecter le monde végétal au règne animal par le biais de l’indole. Attention, ça décoiffe !
il y a 11 heures
De temps en temps, deux, trois fois par an, Notino fait des grosses promotion, c’est comme ça(…)
il y a 23 heures
Merci J ai pu sentir les 2 lors de mon séjour à Madrid, je prefere aussi le Prada mais je n ai(…)
il y a 6 jours
Bonjour à vous ; sans chercher la polémique concernant le flaconnage et la communication, j’ai(…)
Amande complète
Fleur de bonne humeur
Déesse dans le boudoir
Bonjour à tous,
J’ai fait part hier de ma déception quant au manque de tenue et de profondeur de Silences. Quelques semaines auparavant, j’avais déploré celui de Givenchy III qui reste toutefois plus tenace que Silences. Ce problème regrettable en soi devient autrement problématique quand le prix des parfums s’envole. J’ai ainsi eu la désagréable surprise de constater que deux des jus de la Box n°7, à savoir Pourpre Violet et la Douceur de Diam présentent tous deux la même faiblesse : peu d’épaisseur ou plutôt de profondeur. On a l’impression d’eaux légères pour l’été, peu alcoolisées et très diluées.
Quelques heures après vaporisation, il ne reste pas grand-chose. Quelles que soient les qualités olfactives de ces (beaux) jus, au demeurant très amoindries par cette faiblesse, le défaut est rédhibitoire quand leur prix dépasse la centaine d’euros. Pour ma part, j’envisage désormais de vivre sur mes stocks par chance très conséquents. Mais il me semble que les contraintes règlementaires ont désormais atteint un niveau qui condamne le monde de la parfumerie ou a minima risque fort de mettre en péril les marques de niche et/ou toutes celles qui adopteraient un positionnement prix élevé. La qualité n’est vraiment plus là.