IFRA 45, la saga continue
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Le vintage est à la mode et de nombreuses maisons (plus ou moins) historiques ont relancé récemment des collections de parfums après de longues années d’absence ou de discrétion. Nous vous proposons un tour d’horizon de ces fragrances revenantes.
il y a 3 jours
J’avais senti par curiosité la version elixir de la Panthère, et lui avais trouvé quelque chose de(…)
il y a 3 jours
Selon moi, la version élixir de "La panthère" est la variation vanille et fleur de tiaré (monoï)(…)
il y a 3 jours
Dans les années 80, les parfums avaient du coffre. Ils sentaient le cuir, la mousse, l’audace.(…)
Bonbon solaire
Faits et zestes
Brut de gousse
Bonjour à tous,
J’ai fait part hier de ma déception quant au manque de tenue et de profondeur de Silences. Quelques semaines auparavant, j’avais déploré celui de Givenchy III qui reste toutefois plus tenace que Silences. Ce problème regrettable en soi devient autrement problématique quand le prix des parfums s’envole. J’ai ainsi eu la désagréable surprise de constater que deux des jus de la Box n°7, à savoir Pourpre Violet et la Douceur de Diam présentent tous deux la même faiblesse : peu d’épaisseur ou plutôt de profondeur. On a l’impression d’eaux légères pour l’été, peu alcoolisées et très diluées.
Quelques heures après vaporisation, il ne reste pas grand-chose. Quelles que soient les qualités olfactives de ces (beaux) jus, au demeurant très amoindries par cette faiblesse, le défaut est rédhibitoire quand leur prix dépasse la centaine d’euros. Pour ma part, j’envisage désormais de vivre sur mes stocks par chance très conséquents. Mais il me semble que les contraintes règlementaires ont désormais atteint un niveau qui condamne le monde de la parfumerie ou a minima risque fort de mettre en péril les marques de niche et/ou toutes celles qui adopteraient un positionnement prix élevé. La qualité n’est vraiment plus là.