Mon Parfum Chéri
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Après une première édition réunissant près de 3000 passionnés et professionnels du monde entier, la Paris Perfume Week revient du 20 au 23 mars 2025 au Bastille Design Center. Dans son sillage, se dessine une programmation inspirée et foisonnante.
il y a 2 heures
Bonjour Chris68, Ces quelques mots juste pour exprimer le plaisir que j’ai ressenti en voyant(…)
il y a 6 heures
Bonjour cher camarade oui, c’est ma passion ma mère était vendeuse en parfumerie pendant l’âge(…)
il y a 11 heures
Bon, je m’y colle, bien que pas spécialiste du tout. Je dirais que c’est possible, mais il est(…)
Nombre d’or de l’iris
Songe d’une nuit des thés
Désert brûlant
Bonsoir S9 et Jovi,
Inutile de vous dire que j’ai fait une réponse corsée à Goutal en leur disant, en gros que s’ils sacrifiaient des parfums tel que Mon Parfum chéri au profit de créations médiocres, je n’étais pas sûre qu’ils gagnent de nouvelles parts de marché mais ils allaient sûrement perdre les anciennes clientes dont je faisais partie. Voilà leur réponse :
"Chère Madame,
Nous vous remercions pour votre message et pour votre fidélité à la Maison Annick Goutal. Votre avis est important pour nous.
Nous comprenons tout à fait votre hésitation quant au renouveau de notre Maison. Sachez cependant que ce nouveau chapitre puise son enracinement dans la poésie légendaire de la marque. Bien que revisités, les nouveaux flacons portent les symboles identitaires de la Maison. De plus nos senteurs ne changeront pas.
Toutefois nous espérons que notre nouvelle identité visuelle saura vous séduire, ainsi que l’Eau de Parfum qui sera dévoilée pour l’occasion : Bois d’Hadrien, une interprétation inédite de la fragrance iconique de la marque.
Nous restons à votre disposition pour toute information complémentaire.
Belle journée,
La Maison Annick Goutal."
C’est pire que ce que j’imaginais. Ils prétendent rester fidèles à l’esprit de la maison et à son patrimoine en nous servant un flanker de l’eau d’Hadrien ! La rentabilité à tout prix, on sacrifie ce qui est clivant et pas rentable au profit des produits phares qu’on décline à l’infini, comme n’importe quelle marque mainstream. Voilà ce qu’est devenue Annick Goutal.