Anaïs Anaïs
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Pour moi, ce parfum restera l’éternel souvenir de mon enfance. je l’ai sentis sur mouillette pour la première fois l’année dernière et la machine à remonter le temps s’est mise en route (c’est vraiment la première fois que j’ai put comprendre la magie de la mémoire olfactive).
J’ai appris quelques jours plus tard que ma mère le portait quand j’étais petit, et même avant - ce qui explique sans doute l’immense sentiment de sécurité que j’éprouve lorsque je le sens. Et c’est marrant de constater à quel point nos goûts olfactifs sont influencés par nos premières années, puisque les floraux verts s’imposent comme mes parfums féminins préférés. Enfin bref, dommage qu’il ne soit plus très porté. J’ai tout de même croisé une fille dans la rue qui le portait et ça faisait sacrément original, à côté du Ricci Ricci de sa copine.