Chanel N°5
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Interrogeant les mondes visuels et olfactifs, deux expertes échangent en écho au dossier publié dans le dix-huitième numéro de Nez, la revue olfactive.
il y a 17 heures
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
il y a 17 heures
Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
il y a 17 heures
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Jardin impressionniste
Lavande délavée
Église en flammes
Bonsoir Habanita,
Je suis d’accord avec vous en ce qui concerne les reformulations Guerlain de 2016 car j’ai, pour ma part, le même ressenti que vous à l’égard de Mitsouko, qui tient toujours très bien sur papier, mais est moins enveloppant.
Je n’ai rien contre les lancements et les nouveautés, si on me laisse mes vieilleries.
Ce qui me hérisse au dernier degré, c’est la couleuvre qu’on veut nous faire avaler depuis 2012-2015, des parfums toujours plus chers et moins qualitatifs. C’est une tromperie, un vol.
Parce que je comprends que les marques veuillent de nouvelles générations de clients afin de pérenniser leurs activités, mais nous, qui les avons fait vivre et sommes, à 40-50 ans, bien placés en pouvoir d’achat, nous sommes traités comme une quantité négligeable par toutes ces marques.
Tant pis si je radote et ils ne me sponsorisent pas, mais je me permets encore d’insister sur notre cher Molinard et son renouveau. Ils se réinventent se se trahir et proposent des parfums qui tiennent, diffusent et ne nous guillotinent pas lors du passage en caisse. Habanita, Cuir et Patchouli Intense sont des favoris dans mon vestiaires parfumé actuel, d’où j’ai balayé les L’Oréal, LVMH et désormais Chanel... Auquel je vouhais un presque culte depuis l’enfance et les premiers émois olfactifs.