Collection Ianco : Gelsomino, Zagara, Mandorlo
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 10 heures
L’actuelle version EDP, testeur neuf en grand magasin, n’est franchement pas à négliger. Moins(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Bonsoir et merci auparfum et Via Dei Mille de m’avoir sélectionnée bien que ces ressentis soient tardifs.
Très belle présentation que ce coffret même si un des échantillons a eu des soucis de pulvérisation.
On est donc face à de quasi soliflores, bien exécutés mais qui s’évaporent (trop) vite en évoluant peu sur ma peau.
Gelsomino m’a transportée dans un séjour d’enfance en Tunisie où j’avais été parée d’une couronne de jasmin. Il m’a aussi rappelée une odeur de savon ou de laque évoquant ma grand-mère. C’est celui qui sur moi a eu la diffusion la plus importante, malheureusement jusqu’à l’entêtement et au mal de tête.
Mandorlo n’aurait pas dû emporter mon adhésion avec son départ fusant vert amande amère mais il se poudre, façon dragée, se mielle et se musque façon boudoir et en fait un parfum pour soi sans pour autant verser dans la mièvrerie.
J’attendais beaucoup de Zagara, une entrée tonique mais… qui disparaît extrêmement rapidement, un petit tour et puis s’en va. J’aurais tant aimé que la fleur d’oranger m’accompagne sur la durée.
Ianco est une collection « blanche » dans l’épure et la délicatesse mais je dois en déplorer la fugacité générale pour une appellation eaux de parfum et le prix afférent.