Collection Ianco : Gelsomino, Zagara, Mandorlo
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
hier
Bonjour, Dans les années 70/80, tout le monde fumait et nos amis américains nous ont influencé.(…)
hier
Bonjour laprincesseaupetitpoids, bonjour à tous, nous avons très probablement le même : un grand(…)
il y a 2 jours
Bonjour Adina j’ai un Miss Dior vintage flacon 210 ml flacon pied de poule j’aime énormément(…)
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Bonsoir et merci auparfum et Via Dei Mille de m’avoir sélectionnée bien que ces ressentis soient tardifs.
Très belle présentation que ce coffret même si un des échantillons a eu des soucis de pulvérisation.
On est donc face à de quasi soliflores, bien exécutés mais qui s’évaporent (trop) vite en évoluant peu sur ma peau.
Gelsomino m’a transportée dans un séjour d’enfance en Tunisie où j’avais été parée d’une couronne de jasmin. Il m’a aussi rappelée une odeur de savon ou de laque évoquant ma grand-mère. C’est celui qui sur moi a eu la diffusion la plus importante, malheureusement jusqu’à l’entêtement et au mal de tête.
Mandorlo n’aurait pas dû emporter mon adhésion avec son départ fusant vert amande amère mais il se poudre, façon dragée, se mielle et se musque façon boudoir et en fait un parfum pour soi sans pour autant verser dans la mièvrerie.
J’attendais beaucoup de Zagara, une entrée tonique mais… qui disparaît extrêmement rapidement, un petit tour et puis s’en va. J’aurais tant aimé que la fleur d’oranger m’accompagne sur la durée.
Ianco est une collection « blanche » dans l’épure et la délicatesse mais je dois en déplorer la fugacité générale pour une appellation eaux de parfum et le prix afférent.