Cuir d’ange
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Héliodose se propose de connecter le monde végétal au règne animal par le biais de l’indole. Attention, ça décoiffe !
il y a 2 jours
J’ai eu la chance de le rencontrer il y a une vingtaine d’années. Un grand passionné, une personne(…)
il y a 4 jours
Très bonne nouvelle, effectivement ! Le prochain hiver sans avoir Ozkan m’aurait paru bien(…)
Amande complète
Fleur de bonne humeur
Déesse dans le boudoir
L’odeur est un mot. Le parfum est la littérature.
Cette phrase est de Jean-Claude Ellena et résume finalement au mieux cette expérience qu’est Cuir d’ange.
Rarement un nom n’avait tant attiré mon attention et les descriptions qu’on en faisaient ne m’avaient tant rebuté.
La "pyramide" ne me parlait pas. Et un premier essai sur mouillette ne m’avait vraiment pas convaincu. Zut !
Et puis est venu cet échantillon.
Et les essais sur peau.
J’ai bien sûr acquis Cuir d’ange, cette synthèse de l’animal et du divin avec ces notes cuirées qui disent la bête tandis que les florales, dans leurs tons chauds, rassurent et rendent au parfum la dimension sensuelle qu’on aime lui prêter.
Il est devenu un impératif olfactif pour moi.
Je ne le regardais que de loin avec un peu de commisération, j’ai été subjugué par sa chaleur.
Alors certes, la tenue n’a rien d’exceptionnel.
Personnellement j’aime bien changer d’odeur dans la journée. Une tenue atomique n’est pas pour moi un critère de sélection (regarde du coin de l’oeil Jeux de Peau qu’il aimerait bien reporter mais qui reste et s’installe pendant des jours...).
Cuir d’Ange reste pour moi la preuve ultime qu’un parfum c’est d’abord la rencontre entre une odeur et une peau. Parce qu’intellectuellement je ne lui laissais que peu de chance, mais qu’au final il détrône régulièrement le Cuir de Russie de Chanel qui reste beaucoup (beaucoup) plus raide, et pourtant, mon préféré.