Insolence
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Le vintage est à la mode et de nombreuses maisons (plus ou moins) historiques ont relancé récemment des collections de parfums après de longues années d’absence ou de discrétion. Nous vous proposons un tour d’horizon de ces fragrances revenantes.
hier
J’avais senti par curiosité la version elixir de la Panthère, et lui avais trouvé quelque chose de(…)
hier
Selon moi, la version élixir de "La panthère" est la variation vanille et fleur de tiaré (monoï)(…)
il y a 2 jours
Dans les années 80, les parfums avaient du coffre. Ils sentaient le cuir, la mousse, l’audace.(…)
Bonbon solaire
Faits et zestes
Brut de gousse
Non seulement je ne trouve pas Insolence réussi, mais surtout il m’est tout simplement insupportable !
Par chance, l’hystérie qu’il avait provoquée à sa sortie semble avoir déjà cessé (à mon humble avis, nombreuses sont celles qui ont dû se réveiller avec la gueule de bois après le premier flacon... ;p), mais si je voulais grossir le trait je dirais que l’automne 2006 a été l’un des plus longs de mon existence : il était alors impossible de traverser la rue de Sèvres sans retenir un éternuement à la moindre effluve de ce parfum aussi ravissant qu’un crissement de pneu, et je ne m’explique pas encore aujourd’hui comment Insolence (au moins porte-t-il bien son nom) a pu séduire à ce point. Une violette en plastique posée sur une vanille suffocante aussi discrète qu’un char d’assaut, aucune évolution mais un sillage qui n’en finit pas, pas la moindre fantaisie ni la moindre trace de poésie... Il faut se pincer pour croire qu’il est écrit Guerlain sur l’emballage. Poison a empesté les années 80, Angel les années 90... Insolence se charge des années 2000 !