Le parfum fait son cinéma
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Il me semble que personne n’a cité ce bijou qu’est "un Américain à Paris" de Vincente Minelli (1951) dans lequel Lise (Leslie Caron) joue le rôle d’une employée de parfumerie. On la voit dans sa luxueuse boutique (très Guerlain) derrière un comptoir où reposent des flacons géants (dont Shalimar) face à une cliente relativement âgée. L’amoureux de la jeune fille, Jerry Mulligan, interprété par Gene Kelly n’aura de cesse de conseiller puis féliciter la cliente pour l’excellence de son choix afin de s’en débarrasser au plus vite.
Moins connu et néanmoins plein de charme délicat et suranné (façon "un Dimanche à la campagne"), "Églantine" (1972) de Jean-Claude Brialy voit celui-ci distribuer des cadeaux à sa famille dont le dernier parfum Guerlain (on ne saura pas lequel) à sa douce grand mère Églantine jouée par Valentine Tessier.