Colonia Quercia, par Acqua Di Parma
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Un iris majestueux qui se démarque par sa fraîcheur florale et printanière.
hier
Bonjour, Merci pour votre retour. Je n’ai malheureusement pas l’occasion d’aller à la capitale.(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Véritable note maîtresse, l’absolue de mousse de chêne réveille la transparence initiale...
La mousse de chêne, peut être ma note de parfumerie préférée depuis qu’une collègue m’en a ramené une mouillette après une conférence de Jean Kerleo.
Ah comme je l’ai attendu mon échantillon de Colonia Quercia !
Il s’était perdu. Il a fini par arriver et... pendant ce temps l’inévitable lien s’est tissé : Quercia - Quercus - Chêne... mon grand amour lutensien perdu.
Au final que dire...
Sur mouillette, j’ai failli renoncer. Au premier essai, j’ai subi un explosion de patchouli, et pas celui que j’aime (comme celui de l’Heure Défendue, par exemple). C’était suffoquant et à mille lieux de ce qui était annoncé.
Malgré tout, j’ai essayé sur peau. Comment parler d’un parfum sinon ?
Du cèdre, oui, du patchouli c’est évident (quoique moins tonitruant que dans mes premiers essais) et des bois qui piquent. Beaucoup, trop.
Je ne sais pas si ces molécules qui me dérangent tant sont la signature d’un parfum frais moderne. Ce ne sont peut-être même pas ces odeurs que Denyse Beaulieu appelle les bois-qui-piquent. Mais ça me sature douloureusement le nez.
De mousse de chêne, celle que j’adore dans Chêne ou dans de vieilles versions de Miss Dior, je n’ai (presque) pas trouvé trace. Quand je la trouve, elle est tellement mal encadrée par les autres notes que je ne peux que plisser le nez.
Pour moi, cette cologne concentrée est juste importable.
Après l’essai de Palissandre d’or j’avais un doute. Maintenant c’est clair, je n’aime pas les boisés modernes.