Dolce Vita
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 3 jours
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 3 jours
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 6 jours
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Oh, le bonheur que voilà ! Newyorker de retour sur Auparfum (mais il ne nous avait pas quittés... Merci à toi, Yohan, de t’être si bien impliqué dans NEZ, e.a. pour la toute grande création qu’est Tabac Tabou ). Un bonheur ne venant jamais seul, il nous offre la critique d’un merveilleux parfum, tellement beau, charmant, lumineux qu’il est désormais devenu un grand classique de la parfumerie. Un classique qu’on espère immortel.
J’ai découvert Dolce Vita par le biais de Féminité du Bois, il y a une quinzaine d’années. A l’époque, je craquais pour le Shiseido quand le Dior me semblait trop fleuri/souriant. Et aujourd’hui, c’est ce que j’adore en lui, en plus de ses bois fruités. Je n’ai jamais acheté qu’un minuscule flacon d’extrait, superbe, soldé voilà X années. Depuis, c’est un de mes parfums chéris que j’économise méthodiquement. Je suis vraiment heureux d’apprendre que l’EDT actuelle se porte plus que bien. Me voilà enclin à enfin acheter ce flacon facetté au nom symbole de bonheur, d’art de vivre. En deux mots, sa lumière est magique !
Merci, Newyorker, et bravo pour cette belle évocation, experte et nuancée comme toujours.