Eau de rhubarbe écarlate
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bonjour Passacaille (comme c’est charmant de s’adresser à quelqu’un qui porte le nom d’une si jolie danse !),
Bien d’accord avec vous : la précision que vous apportez sur les colognes Hermès a la force de la vérité, et il faut reconnaître que cela relativise quelque peu ce que j’écrivais à ce sujet. Toutefois, le fait que Jean-Claude Ellena ait à ce point développé le concept associe son nom à celui-ci d’une façon presque consubstantielle, s’il m’est permis d’employer un bien grand mot. Dans l’esprit "perfumiste", les Eaux de... sont tout de même principalement attachées, dans l’univers Hermès, à la personnalité de Jean-Claude Ellena.
D’accord aussi avec cette idée d’un "nouveau laboratoire" pour Christine Nagel, pour autant que cette idée d’expérimentation, de recherche, s’accorde avec son tempérament. Simplement, un changement de nom me semble insuffisant sans changement de concept. Il y a eu le temps du haïku ; vienne celui de l’octosyllabe, des danses renaissantes ou de tout autre thème, figuratif ou abstrait, qui conviendra à la créatrice. Ce n’est pas tant l’absence de continuité qui est à craindre que le sentiment de la répétition.