Sisley voyage en Orient
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
il y a 9 heures
Bonsoir, pour ma part et pour avoir porté les deux sur de longues périodes, je ne trouve pas du(…)
il y a 1 semaine
Comme vous l’avez admirablement décrit ! Il a été depuis supprimé du catalogue. J’ai trouvé un(…)
il y a 1 semaine
Quelle chance ! J’ai retrouvé une ancienne vendeuse du défunt Barneys New York au corner Guerlain(…)
Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Étrange parfum dont on se demande pour qui, pourquoi il a été créé. Pas mal fichu du tout, assez confortable même, plutôt masculin comme si un Dior Homme intense s’était orientalisé avec de l’encens, de l’oud et un peu de cuir. Mais finalement, il me semble tellement convenu, tellement dans l’air du temps, que cela sonne fausse niche. Sa discrétion n’est pas pour moi un défaut car c’est un parfum intime, suave, et faussement ou subtilement animalisé ( Sisley veut rester classe ! ) mais sa chaleur n’est pas sans charme. Inutile de le comparer à l’Eau du Soir ou même à Soir de Lune. Autre registre et propos-projet de moindre dimension. À tester malgré tout.