Muscs Koublaï Khän
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Une légende dit que le bois d’oud arriva au Japon porté par les eaux, et fut sorti du sable et du sel par des pêcheurs.
il y a 15 heures
On se sent un peu seule ce 14 février ?
hier
Bonjour, Pas évident de trouver un équivalent. Personnellement, je tenterais le layering et je(…)
hier
Il me semble que ce parfum est discontinué si tel est le cas avez-vous une alternative à me(…)
Accord intercontinental
Lavis en rose
L’encens sans l’église
La relation que j’entretiens avec ce parfum est décidément ambivalente.
Découvert le même jour que Vol de Nuit, j’ai été étonné de la facilité avec laquelle Muscs Koublaï Khän se fondait sur ma peau. Pour moi, pas d’effarement au premier contact. Il me plaisait, sans hésitation et j’adore toujours son odeur chaude de fourrure cuirée d’où une vanille rassurante se dégage très vite.
Mais j’avoue que je regrette de n’avoir pas connu sa version originale car le seul reproche que je puisse faire à MKK (mais il est de taille), c’est son côté "dilué", comme si les notes grasses n’atteignaient jamais leur plein épanouissement. Je trouve qu’au final, il manque de plénitude. Mais il faut bien avouer que la chose la plus proche que je porte et avec laquelle je puisse comparer l’effet de "chaleur animale" qui me plaît tant, c’est l’extrait de Cuir de Russie de Chanel.
Aujourd’hui encore, j’attend que la fragrance se déploie sur ma peau comme savent si bien le faire Bornéo 1834, Chêne et Jeux de Peau. Mais en vain.