Vitriol d’œillet
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 semaine
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 1 semaine
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 1 semaine
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bonsoir Solance
Ton commentaire m’a fait rire ! Eh oui on peut reprocher un côté cul-cul à ces noms chez Goutal, mais moi personnellement ça ne me choque pas du tout, j’aime ce côté décalé qui me rappelle tout simplement des noms de fragrances anciennes pour la plupart disparues !
Allez, deux/trois exemples : N’aimez que moi de Caron, 1916. Voilà pourquoi j’aimais Rosine, Guerlain, 1900.
Voilà, Goutal affectionne ces appellations rétro au charme suranné pour certains, ou fané pour d’autres !