La Onzième Heure de Cartier : L’Heure Perdue
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Guillaume Frémondière, ingénieur agronome et Juliette Karagueuzoglou, parfumeuse chez IFF, lèvent le voile sur cette fleur emblématique.
il y a 17 heures
Bien incapable d’en donner une description détaillée, je trouve simplement que c’est un bel(…)
il y a 2 jours
Bonjour, Apparition sur le site Caron des extraits de Bellodgia, Farnesiana , Or Et Noir et(…)
il y a 4 jours
Chère Adina, en même temps ne vous faîtes pas d’illusions, la note noisette de Vetiver Santal est(…)
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bain de tendresse
Une Heure dont je ne sais que penser.
Porté près de soi, je lui trouve un côté "fétide" comme de la levure dans une pâte à pain ou des boîtes de culture qu’on autoclave.
Perplexe face à ce constat, j’ai cédé mon échantillon à une élève qui vivait le coup de foudre avec cette Heure Perdue.
Sur elle, c’est une vanille opulente sans être pâtissière. La diffusion est délirante (à six mètres j’ai constaté qu’elle s’était résolue à user de sa précieuse fiole) et la tenue phénoménale. Le rendu ne me semble pas "chimique" juste un peu abstrait. Mais, en même temps, j’ai du mal à lui trouver une âme.
Tant de mystère me donne quand même l’envie de l’acquérir pour mieux le comprendre. J’adore ce contrepied qui consiste à faire un parfum 100% synthétique quand d’autres marques ne communiquent que sur leur (faibles) concentrations en naturels.
Elle est quand même forte cette Mathilde.