Parfum signé, sillage unique
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Mandi Rhubi - Isabelle Larignon
À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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J’en ai (hélas...) un flacon, acheté lorsque je me suis "remis" aux parfums il y a à peine 2 ans (nb : depuis, j’en ai 7 litres et j’ai du investir récemment dans une cave à vins – cet objet atroce de la beaufitude citadine –, qui certes est censée mieux conserver les parfums au sein de ma hutte-sauna en été, mais se révèle pas du tout pratique pour les choisir, j’en ai ras le bol ; de plus, elle est archi-pleine et je suis en phase "no buy" désormais).
Et donc, pour en revenir à Fleur du Mâle puisque je m’égare, je le trouve "cohérent" mais bien trop fillette sur moi, avec un côté limite immature, pas du tout "bad boy" en tout cas ! Et il est très lassant, limite écoeurant. Avec Dior Homme et quelques autres, il fait partie des flacons dont je voudrais me séparer – il n’est d’ailleurs pas logé dans la cave à vins...