L’Extase
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
hier
Bonjour, j’adore ce parfum, il me reste un fond de flacon que j’économise. Il devient(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Bonsoir Amber et bienvenue sur auparfum ! Je suis ravi de savoir que l’article vous a poussé à vous inscrire :) et surtout de savoir que le site vous aide dans votre travail !
Votre message m’a fait sourire et j’adore votre humour très fairplay.
Comme tout grand lancement, tout n’est pas inintéressant dans L’Extase. Déjà, dans son ambition il parle d’une frange de la parfumerie d’aujourd’hui qu’il est intéressant d’étudier. Et de prendre avec du recul pour mieux comprendre ce qu’elle nous raconte :) Sans dire que Nina Ricci avait besoin d’un lancement comme celui là, je suis d’accord avec l’idée qu’il y a derrière : une nouvelle cible devrait souffrir pour la marque, ce que j’évoque dans le billet. Et c’est justement ce que je trouve plutôt dommage, c’est que la cible visée (une femme de plus de 30 ans, pour la faire court) aurait pu être ouverte à un jus plus "créatif" qui, sans être polarisant pour autant, aurait pu simplement proposer quelque chose de cohérent avec la gamme.
Quant à la pub, j’avoue qu’en terme de féminisme on repassera quand même. Certes Laetita décide. J’ai envie de dire encore heureux ^^ Une Catwoman période Michelle Pfeiffer, ça ça aurait été une vrzie figure de femme de pouvoir avec un fort potentiel à fantasme :p (mais c’est plus galère de faire des châteaux de couverture avec ses ongles, je vous l’accorde).
Merci encore pour votre retour :) à bientôt j’espère !