A*Men
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 15 heures
En revanche, j’étais un peu étonnée que Madagascar, le Baume vanille n’ait pas sa propre critique à(…)
il y a 15 heures
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il y a 16 heures
Bonjour Garance, je n’ai pas encore senti le Madagascar, mais ce que vous en dites sur le doute(…)
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Mon tout premier avis sur ce site, je vous demanderai votre indulgence, je ne sais pas décrire avec brio et technique les parfums.
Si je me permets de donner mon avis, c’est que depuis 1997, je porte A.MEN, à sa découverte, je me rappelle avoir eu un choc, une explosion d’odeurs est venue à mon nez, tout ce mélangeait, j’avais l’impression de sentir pour la première fois dans un parfum une odeur très gourmande, sucrée, puissante, indéfinissable, et sans équivalent...
Depuis, malgrè ma quête du parfum idéal, personne n’est arrivé à le détroner, le seul qui puisse faire que je deviens infidèle c’est Dior Intense, mais il ne l’égale pas, et je reviens toujours à lui.
Ce parfum a une longue histoire, il a été d’abord un must have de la communauté gay, il est ensuite devenu un parfum TRES à la mode. Il y a eu ensuite une période de désamour.
Pourquoi, et bien car il a trop été comparé à son équivalent féminin, Angel, parfum qui a été adulé puis très critiqué (et je pense à une chanson qui disait : c’est dans l’air, c’est dans l’air)
Depuis, seuls les addicts le portent, et je ne m’en plaint pas, c’est mon parfum et il le restera... Au boulot, ou mes amis, ou les miens, il est souvent dit que ce parfum est indissociable de ma personne, que c’est un plaisir de venir me "sniffer" en me faisant la bise, et surtout ce qui me fait plaisir, c’est que le jour ou je mets un échantillon d’une autre marque ou le Dior que j’ai en deuxième bouteille on me dit : tiens, tu n’as pas mis ton parfum... Quand je dis indissociable...
On aime ou on aime pas, mais on ne pourra pas lui trouver d’équivalent...