Lux
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Après une (trop) longue absence, le livre de référence sur l'industrie du parfum est de nouveau disponible !
il y a 23 heures
Bonjour Autant si ce n’est plus que le batch code qui indique la date de fabrication, c’est le(…)
hier
Merci pour votre réponse ….non pas de numéro il y avait un numéro en noir mais il s’est(…)
il y a 3 jours
Bonjour, J’ai une moitié de flacon de 50 que je propose à l’échange contre parfum équivalent (en(…)
Sillage anthracite
Intime conviction
Chaud-froid épicé
Un parfum acquis à l’aveugle, ou presque (je l’avais découvert sur mouillette dans le courant du mois de décembre) vu les heureuses circonstances dans lesquelles il m’a été offert.
J’aurais peut être du choisir Nuit Noire ou Violette Fumée (mais clairement pas le Oudh Osmanthus dont j’ai reçu un échantillon et qui enfonce le clou du "l’oud, c’est pas pour toi"), le dilemme était si cornélien.
Au bout de trois jours d’utilisation intensive, la première chose que je puis dire, c’est que le résultat sur carton et sur ma peau sont à des années lumières. Ce n’est pas la première fois que je le constate avec les parfums de Mona di Orio. Ca avait déjà été le cas cet été avec certains Nombres d’Or et ça m’avait laissé décontenancé.
Je trouve ces parfums "riches" pour employer un terme à connotation positive plutôt que "épais" ou "lourds". En effet, j’ai été désarçonné au premier essai par ces sensations enveloppantes que laissait le parfum alors que j’attendais un citron vraiment frais (je crois que je l’attendais carrément acide voire light). Je n’ai relu la critique de Jeanne que plus tard, pour voir si mes sensations correspondaient à la description donnée. Sur ce point j’admets que mon nez peine à faire la différence entre la verveine et le thym (qui est une odeur très présente à ma mémoire). Mais est-ce bien important ? L’évolution vers les baumes est d’une sensualité décoiffante.
D’après mes collègues, le sillage est assez confidentiel et la tenue est de celle que j’aime (raisonnable mais pas trop longue, donc).
Au final, Lux me laisse la merveilleuse impression qu’un parfum peut à la fois être pétillant, enveloppant et changeant. Parce que son évolution, sa métamorphose, dans le temps est une merveille. Je ne le trouve pas facile d’accès, mais si beau que je meurs d’envie d’aborder d’autre opus de la marque.
Une révélation en quelque sorte (Ca devient une habitude sur ce forum).
Merci à auparfum de m’avoir permis de découvrir un parfum auquel, faute de temps, de tentations et de surface de peau, je n’aurais peut être pas donné sa chance.