La Fille de Berlin
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Un des mes premiers souvenirs de l’odeur de rose, c’est la salle de bain de ma Grand Mère. Tout évoquait la rose chez elle, son prénom, son jardin, son parfum et définitivement sa salle de bain. Il y avait même un aérosol rouillé à la rose dedans. Au départ, La Fille de Berlin sente exactement comme cet désodorisent ambiantal. J’avais l’impression de me tenir dans cette pièce en peu humide en essayent d’apercevoir sur la pointe de mes pieds mon reflet dans l’ancien miroir moucheté. A part la rose, une multitude de roses différentes certaines plus chimiques que des autres, cette pièce sentait la laque pour les cheveux, le talc au plutôt le vieux poudrier, les rouges à lèvres, certains ne sentent pas si bon que ça, la savonnette et qui sait quoi encore.
Avec le temps je sente aussi le loukoum à la rose. Dans ma famille on mange que celui-la. Cette parfum me fait penser aussi à tout les femmes de ma famille qui s’appellent Rose, Rosine, Rosalina...une flopée de bonnes dames de tout les ages, mortes et vivantes, certaines adeptes aux parfums à la rose.
Même si je ne suis pas une adepte d’une telle concentration de rose, j’ai vraiment eue ma dose pour 3 vies, n’importe quel parfum ne saura réveiller autant de souvenirs aussi précises.