Cuir Beluga
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 3 jours
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 3 jours
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 6 jours
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
bonjour Juliette,
Merci pour cette critique de Cuir Béluga. Le travail sur cette fragrance est intéressant et je ne le voit pas comme une tentative de copier Lutens, mais comme une volonté de filiation avec un classique de la marque : Shalimar. Et en fait pour moi le principal problème réside ici, même si Cuir Béluga n’est pas un flanker onéreux de Shalimar, il suit tout de même la même trame olfactive et au choix je vais me tourner vers le doyen que je trouve plus construit, plus équilibré, un peu moins sucré aussi. Mais j’adopte sans doute plus ou moins consciemment une position de puriste qui affectionne l’original, le puiné au détriment du benjamin. Je me suis fait la même réflexion avec Insolence, joli, mais si je veux une violette (je sais qu’Insolence n’est pas qu’un soliflore), je vais la chercher ailleurs dans le catalogue Guerlain. À ce chapitre, je trouve Bois d’Arménie plus singulier, du moins je ne lui ai pas trouvé de grand-frère et le rendu est sec. Mais pour qui veut un cuir-daim vanillé, craint le départ bergamote de Shalimar ou n’apprécie pas ce dernier pour une question d’image (les apriori), l’alternative reste valable quoiqu’un peu dispendieuse.