Songes
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Décidément, les parfums Courrèges filent un joli coton. Présenté par la marque comme le « récit d’un soir d’été », celui-ci offre un sillage intime et délicatement régressif.
il y a 7 heures
Bonjour Dioressence ? Je ne sais pas si on peut le qualifier de sec mais une fine brume de(…)
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
À fond la gomme
J’ai porté récemment un échantillon de Songes il y a quelques jours (merci _Pascale^^) et sans avoir lu la critique ici, ni même avoir consulté une quelconque pyramide olfactive, il est clair que ce qui ressort de Songes, dès le premier pschitt, c’est la "claque" du tiaré, la vague de monoï, la gifle coco !
Ce parfum ne fait pas dans la dentelle ! Ca tombe bien, de temps en temps j’aime bien un "bon gros parfum" , bien lourd, bien direct, avec du "trop plein" (de sucre, de vanille, de poudré, etc).
Je ne dis pas ça de manière péjorative, mais pour moi Songes est un peu comme le regretté Vanilia de l’Artisan Parfumeur, il ne fait pas dans la dentelle, et semble composé de trois ingrédients.
Mais il a son charme : en manque de soleil, de chaleur, enduisez-vous, oups parfumez-vous de Songes, et le sourire reviendra sur vos lèvres, les images de vacances au bord de la mer vous aideront à ne pas déprimer pendant ce lugubre mois de novembre, le mal aimé en général.
Je ne sais pas pourquoi mais une image tout à fait idiote me vient à l’esprit quand je respire Songes, j’imagine ce faux James Bond un peu ridicule, homophobe, raciste, et tout ce qu’on veut, mais au fond pas un mauvais bougre, bref je vois OSS117 crémer une naïade blonde pulpeuse sur une plage du Mexique... Ou je l’entends encore dire : "je m’enduis d’huile".
Sacré Hubert Bonisseur de La Bath.