Equivalenza, la parfumerie low-cost débarque en France
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Une légende dit que le bois d’oud arriva au Japon porté par les eaux, et fut sorti du sable et du sel par des pêcheurs.
il y a 6 heures
Encore une attaque gratuite de Blanche ! Décidément qu’elle est subversive cette fille ! Et en(…)
il y a 10 heures
Bonjour inexpert, En fait on était encore le 13 pour moi (décalage horaire oblige)... il était(…)
Accord intercontinental
Lavis en rose
L’encens sans l’église
Re-Bonsoir Sleep2dream.
Nous sommes bien d’accord.
Oui, les gens ont besoin d’avoir le sentiment, de percevoir, et de savoir qu’ils ont "réussi" leur vie, et, ils ont besoin de le faire savoir également... ;-)
A propos de ce que les personnes souhaitent en parfums, c’est simple, ils veulent du sucre et des odeurs de leur quotidien. Les gens ne veulent surtout pas sentir différemment de leur environnement habituel, exception faite des wawas qui ne sont pas des lieux assez positifs pour faire rêver (la pire expression étant "ça sent les bombes à ch..." ! ^^).
La plupart des gens, ce qui est logique d’un point de vue purement cognitif, veulent être rassurés, donc, veulent du quotidien : odeurs de shampoing, yaourts, crèmes desserts, bonbons, lessive, déodorants, mousses à raser, détergents seront plébiscités. Il faut juste que, surtout, ils soient entourés d’un joli discours accrocheur et que, jamais, Oh, non !, on ne fasse référence à ces environnements dont ces odeurs sont issues. Ou, en tous les cas, pas trop... Pour les gourmands, le discours autour de la régression, du "ça fait du bien", du "feel good", permet mieux d’insérer les références aux modèles copiés ("bonbons"), mais, si vous faîtes pareil avec "shampoing", là, ce n’est plus assez luxueux...
Bonne soirée encore !
Opium