Black Opium : Opium 2014
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 semaine
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 1 semaine
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 1 semaine
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Toutes proportions gardées, cette publicité est l’une des plus réussies que j’ai pu voir ces derniers temps ; enfin quelque chose qui s’inscrit dans des thématiques sociétales fortes, ici sublimées et transcendées avec un côté froidement glamour plus "wong-kar-wai-ien" du début que typiquement lynchéen. Adieu les traditionnels beaux paysages, corps dévêtus avant ou après le coït, fleurs diverses, images de Paris, de la lune, du coucher de soleil et autres cul-cul-teries normalisées, produisant les mêmes discours répétitifs et débilitants.
Que certains et certaines ici trouvent la publicité "moche" ou soient "dépités" n’a rien de surprenant, dans la mesure où ces personnes semblent être engourdies dans une sorte de procrastination sensorielle – tronquée à l’univers de Vélasquez et autres contemporains de ce dernier –, et assimilant toute notion de beauté et d’art à leur univers mental restreint, limité, voire – dans certains cas –, perturbé.
Après, comme souvent, il y a une forte dissonance esthétique entre la publicité et le flacon. Ici, c’est encore un peu le cas, hélas. Même si le flacon est loin de récolter la palme du mauvais goût ou du mimétisme animalier (je pense au dernier Kenzo, ou encore à La Panthère). Il faudrait a minima que les gens de la mercatique élaborent une démarche globale, intégrant le design du flacon à l’ensemble du projet artistique.