Déclaration L’Eau : Déclaration se baigne dans le Pacifique
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
il y a 4 heures
Quelle chance ! J’ai retrouvé une ancienne vendeuse du défunt Barneys New York au corner Guerlain(…)
il y a 5 heures
Dans les années 60, Câline de Jean Patou fût le premier parfum réservé aux jeunes filles. En avance(…)
il y a 6 heures
Bonjour, Pour fêter les 60 d’habit rouge, guerlain a sorti une édition limitée habit rouge(…)
Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
J’en avais récupéré une petite miniature de 15ml que j’ai porté beaucoup en juillet et que dire... C’est d’une finesse incroyable. Vraiment, le mot de ce parfum c’est la finesse : la finesse dans l’écriture, la finesse d’esprit, la finesse dans le trait. On retrouve la trame de Déclaration mais avec quelques variations notamment avec un pamplemousse vif et donc une légère note figuier qui se révèle surtout sur la longueur. Le départ est aussi plus vert et scintillant, avec un effet vigne vierge.
Je ne connais pas la cuisine thaïlandaise dont Opium parle, mais quand il l’explique je vois tout à fait le lien.
J’aime bien aussi comment les quelques variations ce sont faites autour de gimmicks de Jean-Claude Ellena : le pamplousse, une note lactée légère et texturée, cette manière de s’effacer derrière la création est bien vue.
Dans l’esprit, on le compare beaucoup à la Terre ETF chez Hermès, mais si personnellement je prends plus de plaisir à porter le Cartier (mais c’est aussi parce que j’ai offert le Hermès à mon beau père ^^), ce dernier n’a pas pour autant toute la réflexion plus intellectuelle du parfum d’Ellena non plus. Les deux sont de très belles déclinaisons dans tous les cas.