L’Incendiaire : Serge Lutens rallume la flamme
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Un siècle après l'Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes, trois experts explorent son influence sur le parfum.
il y a 4 heures
De mon flacon original acheté fin 1988, au retour d’un voyage à Venise où je l’avais senti non loin(…)
hier
Bonjour Nez inexpert, Pour vous consoler, je ne saurais trop vous conseiller Vétiver Royal(…)
hier
J’ai enfin trouvé son remplaçant, Sauvage de Dior, qui n’a rien à voir au niveau fragrances, mais(…)
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bain de tendresse
Vivant avec une jeune personne qui étudie le marketing, nous avions fait de Lutens un cas d’école.
La marque était menée avec brio de bout en bout. Récemment, je me faisais d’ailleurs la réflexion que, finalement, les parfums Lutens restaient "abordables" par rapport à d’autres produits pas spécialement plus qualitatifs (à mon nez, je préfère préciser).
Et puis voilà...
Je suis extrêmement curieux de découvrir comment ils vont faire découvrir au fidèle que je suis que depuis des années, je me parfume avec des jus pas vraiment top.
C’est très casse gueule comme plan marketing. Mais il est vrai qu’on vit à une époque où tout peut se tenter dès qu’il s’agit d’élargir les marges.
Bref, je suis déçu. Mais pas assez pour retirer mon flacon d’Iris Silver Mist de la cheminée de la salle à manger.
Sinon, je pense avoir manqué l’une ou l’autre info (c’est pas ma faute, je suis belge, c’est la province du parfum ici, si on ne vit pas à Bruxelles ou à Wevelgem). Sainte Mathilde Laurent nous prépare une nouvelle Heure ? On en sait quelque chose ?