Carnal Flower
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Interrogeant les mondes visuels et olfactifs, deux expertes échangent en écho au dossier publié dans le dix-huitième numéro de Nez, la revue olfactive.
il y a 2 jours
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
il y a 2 jours
Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
il y a 2 jours
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Jardin impressionniste
Lavande délavée
Église en flammes
Comme un vilain de film d’action, Carnal flower donne le meilleur de lui-même lors de son regain de vitalité, 20mn avant la fin.
Le parfum opère alors un piratage cérébral, le sillage s’insinue dans les esprits. Radiance, tubéreuse, douceur, sensualité. "It means sex", rien ne l’a dit, mais tout le monde a compris.
Les notes de têtes sont gâchées par un côté "huileux huile d’olive" "monoï", qui font de Carnal flower une lotion d’été très chère. Dominique Ropion a du mal à se départir de ses compositions "lourdes". On peut faire une tubéreuse monoï sublime pour bien moins cher.
L’absolu tubéreuse très cher et l’absolu jasmin sambac de luxe sont bien là, comme des joueurs de foot "star" mis sur le banc des remplaçants, jusqu’à l’épreuve des tirs au but.
Bref, Carnal Flower est sur-évalué.
Mais il est vraiment bon, le prix est justifié. Son effet subliminal vaut le détour. Et il y a un petit twist d’eucalyptus (la tubéreuse a ces facettes Vicks vaporub) qui le rend très innovant, et portable pour un homme.
Si vous voulez la diva, essayer l’extrait de Fracas.