Œillet Bengale
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À quelques jours de Noël, nous avons dressé une liste (non exhaustive) des publicités de parfums qui ont croisé notre regard dans la rue. Voici une appréciation - évidemment très personnelle - de ce qui vaut vraiment le coup de nez.
il y a 2 jours
Vous semblez oublier les notes poivrées ou les notes de baies qui apportent tout leur charme à(…)
il y a 5 jours
Où donc ai-je lu à propos de 1000 que Luca Turin recommandait à la gent masculine le port de(…)
Nombre d’or de l’iris
Songe d’une nuit des thés
Désert brûlant
Bonsoir Jicky.
Nous sommes parfaitement d’accord à propos du traitement de cet œillet qui a le double intérêt :
- de parvenir à renouveler le genre, malgré les contraintes extrêmement lourdes dans le cas présent, en faisant jouer un orgue aux épices multiples pour pallier au seul eugénol (un peu comme Thierry Wasser et Frédéric Sacone l’ont fait pour un parfum mythique de Guerlain, mais, chut, cela sera dévoilé dans la Saga de cet été... ^^) ;-), et...
- de renforcer une nouvelle marque parmi les meilleures en proposant encore un troisième parfum intéressant.
L’aura assez "à l’ancienne" mais, "bouquet à l’ancienne" plutôt que "soliflore à l’ancienne" (gavé de girofle comme l’étaient Bellodgia ou Poivre), comme dans L’Air du Temps, Opium ou Shanghai Lily qui en est proche, ne pouvait que me séduire.
Toi, moins, je m’en doutais. Les fleurs maximalistes ultra-épicées, un peu touffues dans leur rendu, n’étant pas trop trop ta tasse de thé. Tu sais en reconnaître la justesse technique et la beauté, mais, je ne suis pas surpris que tu n’adhères pas trop. C’est plutôt des trucs à la Newyorker ou à la Opium ça... ;-)
Merci pour ton commentaire.
A bientôt.
Opium