L’Homme Idéal
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 6 heures
En revanche, j’étais un peu étonnée que Madagascar, le Baume vanille n’ait pas sa propre critique à(…)
il y a 6 heures
Ah, certains de mes parfums étaient des coups de coeur immédiats : le regretté Traversée du(…)
il y a 7 heures
Bonjour Garance, je n’ai pas encore senti le Madagascar, mais ce que vous en dites sur le doute(…)
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Comme je passais ce matin par la parfumerie du coin pour remplacer quelques produits de premières nécessité (de l’anti-cerne, par exemple), la charmante vendeuse (celle qui s’y connait en Lutens) m’a proposé de me parfumer, sachant que je passe (trop) régulièrement essayer quelques flacons.
Comme elle s’enthousiasmait pour l’Homme Idéal, je me suis laissé faire puisque je comptais le tester.
Et je m’inscris sur la liste des victimes des bois qui piquent.
Les notes de têtes m’ont effectivement rappelé Amen. Mais un Mugler dans lequel on aurait versé un bonne rasade d’Invictus. Les notes piquantes persistant sur moi pendant toute l’évolution du parfum.
Alors, bien sûr, je me dis que je suis d’un nature très allergique et que l’exposition à certaines molécules peut m’y sensibiliser durablement à certaines périodes.
Je ne pense cependant pas que ce Guerlain et moi puissions nous entendre.
Un rare moment de solitude devant une vendeuse qui m’avait toujours soufflé les mots justes.