Vierges et Toreros
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
hier
Bonjour Dioressence ? Je ne sais pas si on peut le qualifier de sec mais une fine brume de(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Bonsoir Zab63.
Il y a bien quelque chose de "bouillonnant" en même temps que "bRouillonnant" dans Vierges et Toreros qui pourrait rappeler les "bordéliques" années 80 ! Mais, moi, ce foutoir olfactif, comme tu le sais, j’aime plutôt très-beaucoup-énormément... ;-)
L’odeur de sang que tu détectes prend des airs de viande qui aurait été dépecée fraîchement chez moi, une sensation cuirée assez "chèvres et boucs pas que dans les prés" pour tenter une vaine description... Il y a bien quelque chose de bestial et de dérangeant dans cette lutte à mort que se livre la tubéreuse et le cuir. C’est ce qui fait que j’apprécie ce parfum très clivant (en sus de l’odeur qui, finalement, ne me dérange pas trop, la tubéreuse arrondissant les angles sanguins assez violents par sa chair plus chaleureuse).
Pour changer de sujet, non, je n’ai eu que quelques fois ce type de commentaires ; lorsque je n’avais pas assez développé une idée qui semblait pertinente pour le correcteur. (Oui, cela m’arrivait... Par manque de temps souvent en fait ! ^^)
Sinon, souvent, c’était plutôt : "N’écris/vez pas aussi petit, on n’arrive plus à lire vos pattes de mouche dans les marges du bas !" LOL
Moi, j’aimerais bien savoir faire plus concis souvent. Mais, c’est comme tout, on n’est JA-MAIS content de ce que l’on possède ou de ce dont on est capable je suppose... ;-)
Bon début de week-end.
A bientôt.
Opium