Sancti, l’Eau Bénite
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
hier
Bonsoir, pour ma part et pour avoir porté les deux sur de longues périodes, je ne trouve pas du(…)
il y a 1 semaine
Comme vous l’avez admirablement décrit ! Il a été depuis supprimé du catalogue. J’ai trouvé un(…)
il y a 1 semaine
Quelle chance ! J’ai retrouvé une ancienne vendeuse du défunt Barneys New York au corner Guerlain(…)
Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bonsoir Ankalogon,
en publiant Sancti, je savais qu’on allait forcément aborder le sujet du rapport qualité-prix :)
Comme je viens de le dire ci dessous à CuirFélidé, je considère que non, le prix n’est pas justifié, mais quand bien même c’est vrai, est-ce que cela implique qu’on se censure et qu’on ne puisse pas parler des parfums ? Ou qu’on les discrédite uniquement à cause de leur prix ?
Je conçois que cela puisse déranger de faire abstraction du prix, mais cette démarche participe selon moi à la vision du parfum comme un art, critiquable pour sa forme artistique, et les émotions qu’il suscite, et non pas forcément ramené à son prix au kilo, comme n’importe quel autre produit de consommation.
Dit-on d’un Picasso : « il est très beau, mais franchement pour le prix...... » ?
Après, évidemment que c’est important le prix, c’est comme aller dans un nouveau resto hyper cher et se faire servir en entrée une "bonne salade verte", même si elle est très bonne, fraîche, croquante, avec des petites herbes et une bonne vinaigrette, on est déçu, on espérait mieux, on est pas venu pour ça, on ne reviendra pas :)