Five O’Clock au Gingembre
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 4 jours
La vanille... quel pari risqué, sans compter le summum de l’originalité ! (Rires).
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Vous avez certainement raison, parfois il faut y revenir et je suis sûre que certains parfums peuvent servir de passerelle pour en aimer d’autres qu’à priori on aurait détesté. Et c’est tout à fait ça cette odeur de fumée : de l’encens. J’ai ressent très souvent des odeurs que je connais mais impossible de mettre le nom dessus. C’est juste insupportable ! Je ne connais pas tous les Lutens (loin de là) mais je trouve qu’ils sont pour la plupart particulièrement difficiles à appréhender au départ. Il n’y a que Datura Noir pour lequel j’ai eu un coup de foudre. Fille en aiguilles, bas de soie, jeux de peau me laisse perplexe. A rester dans quelques temps donc...
Par contre pour revenir sur Five O’clock, je ne sent pas du tout cet aspect thé accompagné de petits biscuits aux épices qui est souvent décrit. Je fais définitivement un blocage sur l’encens. Il faut dire aussi que quand je l’ai fait sentir à mon ami, sa réaction a été : "mais c’est un parfum féminin ça ?". Du coup, j’étais encore plus désappointée...