Bruxelles n’aime pas le parfum
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 2 heures
Bonjour, Ma première réaction serait le Oud magnétique de Molinard, dans la veine du M7 de Saint(…)
il y a 2 heures
Bonjour, après avoir trop longtemps attendu "Bottega Veneta" qui n’est toujours pas remis en(…)
hier
Bonjour Dioressence ? Je ne sais pas si on peut le qualifier de sec mais une fine brume de(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Bonjour Denyse,
Merci pour ton intervention, et merci de ramener un peu l’apaisement par ici. Bien que je ne sois pas totalement apaisée, j’avais en effet remarqué que l’article de Reuters était totalement alarmiste. D’un autre côté, il est très difficile de savoir démêler le vrai du faux dans ce que les médias relatent, sachant que les médias français qui ont eux aussi repris l’information n’ont pas plus éclairé la question.
C’est une bonne nouvelle si ce rapport ne sera donc pas pris à la lettre, et ma foi, si la liste des allergènes s’allongent... que pouvons-nous y faire ? Je préfère de très loin un étiquetage un peu contraignant plutôt qu’une suppression injustifiée de composants essentiels à la création.
J’ai hâte de connaitre tes conclusions sur cette nouvelle et regarde les choses d’un oeil un peu plus serein maintenant, même si je reste sur ma position concernant l’IFRA. Cet organisme ne semble, dans ses actions et les déclarations de ses représentants, absolument pas concerné par la préservation du patrimoine olfactif qui est le nôtre. Ce patrimoine ne cesse d’être abîmé par un soi-disant problème d’allergie qui peut très bien avoir une origine bien plus complexe que la présence de quelques composants dans une formule de parfum.
Bref, je pense que nous devons continuer à faire entendre notre colère vis à vis de ce problème, et réclamer autre chose que l’évitement de la catastrophe, qui semble tout de même se rapprocher de plus en plus de nous.