Bruxelles n’aime pas le parfum
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 3 heures
Bonjour, Ma première réaction serait le Oud magnétique de Molinard, dans la veine du M7 de Saint(…)
il y a 3 heures
Bonjour, après avoir trop longtemps attendu "Bottega Veneta" qui n’est toujours pas remis en(…)
hier
Bonjour Dioressence ? Je ne sais pas si on peut le qualifier de sec mais une fine brume de(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
je ne fais pas le jeu de Marine Lepen, je ne diabolise pas l’Europe, je ne comprends même pas qu’on en vienne à ce type de jugement, je trouve ça un peu limite mais bon, c’est pas grave, je dis juste qu’on devrait plus communiquer autour de ce qu’interdit la Cour Européenne.
Si vous voyiez le nombre de gens obsédés par les matières naturelles dans un parfum, qui refusent le synthétique, (je travaille en vente entre autres donc je le vois tous les jours), si on expliquait à ces gens que la démarche de l’Europe est de réduire l’eventail des matières permières à une peau de chagrin pour des compositions qui vont devenir, de fait, de plus en plus synthétiques, je pense que ça pourrait peut etre sensibiliser les consommateurs, surtout dans une époque où les scandales alimentaires etc... vont bon train. Les sensibiliser sur l’absurdité du truc. Ce serait un argument je pense, peut etre plus marquant que celui du N°5 qui n’est plus le meme qu’avant.