Bruxelles n’aime pas le parfum
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Une légende dit que le bois d’oud arriva au Japon porté par les eaux, et fut sorti du sable et du sel par des pêcheurs.
il y a 13 heures
Encore une attaque gratuite de Blanche ! Décidément qu’elle est subversive cette fille ! Et en(…)
il y a 17 heures
Bonjour inexpert, En fait on était encore le 13 pour moi (décalage horaire oblige)... il était(…)
Accord intercontinental
Lavis en rose
L’encens sans l’église
toutes ces mesures trop strictes contre les parfums ne pourraient pas voir le jour si il y avait la moindre résistance d’élus concernés. Le parfum étant quasi exclusivement une histoire française on peut déjà en déduire qu’il n’y a eu aucune pression des dirigeants d’entreprises de cosmétique auprès des élus. Ces dirigeants étants en majorité issu d’un milieu économique-industriel la notion de sensibilité qualitative ce n’est rien du tout par rapport aux marges bénéficiaires (surtout si un parfum qui sent le sucre industriel reste le parfum le plus vendu en France). Par contre exposer le parfum comme oeuvre d’art patrimoniale menacée c’est une excellente solution pour faire sortir même les parfums anciens du domaine de l’interdit tant que les matières premières sont écologiquement accessibles.
Il y aurait aussi la solution de sortir le parfum du produit à mettre sur la peau, c’est une solution tordue qui est déjà utilisée par les fabricants d’ampoules design qui indiquent que "Ce produit ne convient pas à une utilisation en intérieur". Le produit est donc toujours vendu sans restriction et les gens ne l’utilisent toujours que en intérieur mais c’est leur responsabilité. Avec cette indication appliquée au parfum(ne convient pas à une application sur peau), ils pourraient être vendu sans restrictions allergènes et son utilisation serait de la responsabilité de l’acheteur. Mais Adieu les images glamours de la goutte dorée qui coule sur le cou de Marilyn.