La Petite Robe Noire
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Une légende dit que le bois d’oud arriva au Japon porté par les eaux, et fut sorti du sable et du sel par des pêcheurs.
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Accord intercontinental
Lavis en rose
L’encens sans l’église
Je suis tellement d’accord ! Une amie me l’a offert à sa sortie, je l’ai essayé vingt fois et ce soir j’ai récidivé mais est-ce lui qui me colle la migraine ou devais-je avoir de toutes façons mal au crâne ? J’ai lu sur le forum des critiques l’associant à Poison, qui, sur moi, vire pisse de chat, je jure que c’est vrai ! Est-ce donc un des ingrédients (communs aux deux jus)qui ne me conviendrait pas ? Cependant, je comprends le succès de la petite Robe Noire, plus capiteux que les autres gourmandises à la mode mais justement, il est à la mode. Il surfe sur cette vague pâtissière, comme on a surfé sur la vague des orientaux après opium ou des aqua après l’Eau d’Issey et kenzo pour homme. Chacun y va de sa déclinaison sur fond de sucrerie, on se croirait chez Ladurée à goûter des macarons... Et comme c’est la mode, tout le monde s’extasie, on se l’arrache comme on s’est arraché Opium ou l’Eau d’Issey. Et tout le monde sent pareil.Et c’est insupportable de sentir la même chose que sa voisine. Autant je n’ai que faire de porter la même robe que ma voisine, autant un parfum, c’est tellement à la peau, entre soi et soi, un dévoilement de qui je suis, que je n’ai pas envie d’être la jolie impertinente parisienne que rêve d’être la dondon assise près de moi dans le métro ou l’ado qui se perd dans sa zique sur son ipod en faisant des bulles de chewing gum à la cerise... Un rêve, longtemps caressé - et que je caresserai longtemps encore - : avoir mon propre jus, à moi. Mais comme je suis terriblement infidèle en matière de parfum... je m’en tiendrai aux créations de Serge Lutens. Pour l’heure, je m’insolente avec vétiver oriental et me retrouve entre moi et moi avec jeux de peau (dans lequel je ne retrouve aucune odeur de pain, grillé ou non mais qui est moi.Il sent moi). Cette réponse est ma première contribution à ce site, j’avoue être totalement inapte à analyser les parfums, on a beau me dire que ça sent le pain grillé, je ne le sens pas, que la cerise noire machin rien de rien, et je n’ai jamais réussi à distinguer la tête de la queue (pardon, du sillage oooooooops) d’un parfum. Je ne demande qu’à apprendre mais vous voyez, vous n’êtes pas la seule à oser franchir le pas. En tout cas, merci pour ce site et pour toute cette magnifique culture olfactive !