Bonjour à tous,
je découvre cette intéressante discussion un peu tard mais elle a le mérite qu’on l’entretienne et l’enrichisse tant il est triste de ne plus trouver un parfum aimé voire son parfum son identité...
pour moi c’est définitivement Kenzo Air dont je ne me suis pas remis de la disparition , il a été ma signature pendant longtemps puis introuvable à mon grand regret (petit aparté pour nos amis BElges j avais réussi à en retrouver 2 vapos dans un outlet de parfum qui se trouve a Bruges, une petite boutique aux allures de hangar sans raffinement aucun qui ne vendait que des invendus ou des parfums n’existant plus il y a de cela 2 ou 3 ans, je ne sais pas si cette boutique existe encore (dans une longue rue commerçante derrière la grand place) mais c’était un véritable trésor, si j avais eu plus de moyens à l’époque je l’aurai dévalisé !)
sinon, la liste commence à s’allonger malheureusement :
Aquaman de ROchas
HOrizon de Guy Laroche
United Colors de Benetton (le tout premier de leurs parfums qui était terrible il y a 20 ans en version masculine un flacon noir, la version féminine n’avait pas grand chose d’intéressant à mon souvenir et présentée dans un flacon blanc transparent)

Côté féminin :
L’esprit de parfum de Poison de DIor (qui était plus dévastateur que l’actuelle edt proposée aujourd’hui en bas de l’etagere)
Tocade de Rochas si particulier
Tentations de Paloma PIcasso (je ne sais pas si quelqu’un l’a connu il n’a pas duré longtemps 3 ans au Max je pense mais pour moi c’était un beau parfum dont je gâtais ma mère car il lui allait terriblement bien).
ENsuite je ne sais pas s il a été discontinué mais je ne le vois plus nul part alors que j aimerais vraiment le ressentir (souvenir oblige) c’est CArolina Herrera qui devait être son 1er féminin et qui ne portait que son nom avec un sillage dévastateur très opulent sur un fond un peu vanillé dans mes souvenirs.

coté reformulations la liste serait trop longue ma dernière déception en test étant Trésor de Lancôme qui n’a plus rien de Trésor le pauvre, le côté poudré à disparu, il lui manque tout ce qu’il était pour n’être plus que banal et insipide, quel gâchis !