Profumo
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bonjour, Thierry et Opium. Instructif, ce bel échange. Comme vous le soulignez, la grande différence entre Mitsouko et Profumo, c’est précisément cette brassée d’agrumes, dont la magnifique bergamote, qui animent l’ouverture du premier, le pionnier finalement. Ce sont ces notes de tête, typiques de chez Guerlain, celles qui tout de suite vous "piquent" au nez pour mieux vous accrocher tout en vous rafraîchissant divinement. Notes merveilleuses, lumineuses, reconnaissables entre toutes et que j’ai retrouvées tout à l’heure dans Shalimar Ode à la vanille, que je connaissais mal - assez belle composition ma foi. La lumière Guerlain, elle est là dans ce fil d’or qui parcourt leurs plus belles créations. Dans Profumo, mon flacon datant d’avant la reformulation, je sens plus le jasmin que l’aspect fruité- pêche, et de fait, on entre plus vite dans le coeur du sujet, sans doute un peu moins facetté et à l’évolution moins troublante, moins mystérieuse que celle de Mistsouko. Mais lié à des souvenirs, je porte plus volontiers Profumo que le Guerlain, et ce depuis dix ans, simplement parce qu’il me va mieux. Souvenir, quand tu nous tiens...