Les mal nommés
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Héliodose se propose de connecter le monde végétal au règne animal par le biais de l’indole. Attention, ça décoiffe !
il y a 2 heures
Merci J ai pu sentir les 2 lors de mon séjour à Madrid, je prefere aussi le Prada mais je n ai(…)
il y a 5 jours
Bonjour à vous ; sans chercher la polémique concernant le flaconnage et la communication, j’ai(…)
il y a 5 jours
C’est L’Eau de Néroli parce que, apparemment, je ne peux pas en avoir trop de néroli dans ma vie.(…)
Amande complète
Fleur de bonne humeur
Déesse dans le boudoir
Bonsoir Guillaume,
pas mal votre message ;)
néanmoins, je tiens à défendre Paris et Champs-Elysées ensemble car la justification sera la même ! Dans les deux cas, c’est la lumière qui faisait partie du brief. Paris est bien la ville-lumière, et Grojsman est bien partie de cette idée pour faire son bouquet de rose et de violette si connu (et que je n’aime pas forcément non plus d’ailleurs pour être honnête, bien que le parfum soit très joli encore aujourd’hui. Il fête ses 30 ans cette année aussi d’ailleurs). Et pareil pour Champs-Elysées.
De plus, je trouve l’argument "il n’y a pas de rose/mimosa à Paris un peu réducteur" ==> il n’y a pas de vanille au Taj Mahal, pas de cannelle dans l’opium et les anges ne doivent sûrement pas sentir le patchouli cacaoté... La vision matière n’est pas forcément pertinente quand on souhaite nommer un parfum, contrairement à ce que voudrait nous enfoncer dans le crâne la niche. Et je pense que sur ce point, le grand public est toujours en avance par rapport à la niche, qui tombe souvent dans le soliflore pour désigner ses parfums (mais autre explications : le copyright est libre, et c’est galère de trouver des noms de parfums actuellement). L’idée d’un parfum est souvent plus forte que sa matière. Même si nous sommes d’accord, quand la forme rejoint le fond, c’est vraiment superbe !