Les mal nommés
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 semaine
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 1 semaine
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 1 semaine
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bonsoir Guillaume,
pas mal votre message ;)
néanmoins, je tiens à défendre Paris et Champs-Elysées ensemble car la justification sera la même ! Dans les deux cas, c’est la lumière qui faisait partie du brief. Paris est bien la ville-lumière, et Grojsman est bien partie de cette idée pour faire son bouquet de rose et de violette si connu (et que je n’aime pas forcément non plus d’ailleurs pour être honnête, bien que le parfum soit très joli encore aujourd’hui. Il fête ses 30 ans cette année aussi d’ailleurs). Et pareil pour Champs-Elysées.
De plus, je trouve l’argument "il n’y a pas de rose/mimosa à Paris un peu réducteur" ==> il n’y a pas de vanille au Taj Mahal, pas de cannelle dans l’opium et les anges ne doivent sûrement pas sentir le patchouli cacaoté... La vision matière n’est pas forcément pertinente quand on souhaite nommer un parfum, contrairement à ce que voudrait nous enfoncer dans le crâne la niche. Et je pense que sur ce point, le grand public est toujours en avance par rapport à la niche, qui tombe souvent dans le soliflore pour désigner ses parfums (mais autre explications : le copyright est libre, et c’est galère de trouver des noms de parfums actuellement). L’idée d’un parfum est souvent plus forte que sa matière. Même si nous sommes d’accord, quand la forme rejoint le fond, c’est vraiment superbe !