Royal Bain de Caron
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
hier
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Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Ne vous inquiétez pas Lilie, je comprends parfaitement. Au delà de la blague "Jicky VS Newyorker" sur les Caron, il est vrai que Caron a une patte - surtout dans les versions actuelles des jus - assez caractéristique (pour ne pas dire caricaturale aujourd’hui).
Personnellement, quand je parle de bouilli, c’est pas si "faux" que ça dans mon appréhension. J’ai une relative estime pour certains vieux Caron (en version ancienne) pour "la note", cette capacité à saisir un univers avec une idée forte. Mais là où le bât blesse, vient dans la "Caronnade". Là où une Guerlinade ne vient jamais noyer un parfum pour le faire couler (ce que beaucoup de gens ne saisissent pas vraiment d’ailleurs avec Guerlain, trop souvent réduit aux notes orientales capiteuses), Caron a une fâcheuse tendance à jouer la sirène : une idée forte aguicheuse, et franchement séduisante mais un fond qui vient te prendre pour te couler dans les méandres des vanilles giroflées boisées crémeuses (le fond Caron est finalement assez indescriptible...).
Newyorker va me détester... Mais un bon parfum c’est mieux quand il l’est du début à la fin non ?