Ma Ville, mes parfums
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Interrogeant les mondes visuels et olfactifs, deux expertes échangent en écho au dossier publié dans le dix-huitième numéro de Nez, la revue olfactive.
hier
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
hier
Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
hier
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Jardin impressionniste
Lavande délavée
Église en flammes
Bonjour,
Je suis nouvelle ici et je vais répondre, n’arrivant pas à créer une nouvelle discussion.
Je suis une parisienne de souche exilée depuis trois ans à 130 km de Paris.
Je lis ce site depuis des mois avec un immense intérêt parce que vous semblez tous de vrais amoureux des parfums et que les dialogues sont courtois - et non pas une foire d’empoigne comme il en existe sur le net - forums, sites...où chacun s’improvise nez avec plus ou moins d’élégance.
Je voudrais aborder un sujet que je n’ai encore trouvé nulle part, qui concerne le comportement des mères accompagnées de mioches insupportables dans les parfumeries (cela me semble pire depuis que je suis en province).
Nous disposons d’un Nocif où les clients savent se tenir mais où l’ignorance des employées est impressionnante.
J’ai découvert récemment un mall (pas un énorme mall, un mall avec un hyper, une para, un espace culture et...une parfumerie). Pour la nommer : Une heure pour soi -et parce que c’est tout à son honneur tant elle est bien et...pourrait être mieux encore.
D’une part on y trouve tous les Dior originaux (Miss Dior, Dioressence, Diorella, Diorissimo etc) qui même remaniés depuis la création valent toujours mieux que le Miss Dior avec matraquage Portman et formulation début années 2010.
On trouve même Chants d’arômes, qui en dehors des boutiques Guerlain à Paris est introuvable.
Il y a encore les flacons originaux de Tocade, Femme et Madame Rochas au lieu de l’horreur des nouveaux flacons que la marque a, pour des raisons qui m’échappent, uniformisés.
Un lieu bien agréable, donc.
J’avais découvert ce petit paradis où je pouvais m’adonner à mon vice - 3 mouillettes, 1 grain de café - nantie de mon petit flacon de Knowing (je prends les petits formats quand je les trouve, j’ai trop de parfums), quand soudain... j’entends un hurlement, je m’aperçois que je suis cernée par deux petites filles dont une se roule parterre, qui se pschittent tous les testeurs du magasin sur des mouillettes dont elles remplissent aussitôt le récipient mis là à cet effet et archiplein par leurs soins ou jettent les mouillettes parterre, et à 1 mètre de moi la mère qui me regarde avec l’air de dire "je t’emm....". Même pas en fait. Impassible. Un sphynx. Qui elle-même s’asperge léthargiquement de Lady Gaga ou autre puits de bon goût.
Moi, gentil poisson-clown sachant que si je vire murène je me retrouve au poste pour avoir réduit deux enfants innoncentes à l’état de compressions de César - 6 mois fermes et 6000 euros d’amende, est-ce que je sais ? Expliquer au commissaire que j’ai fait de l’art contemporain sur de petites humaines (par énervement, soit) parce que j’avais le terreau à portée de main ? Non, impossible. Sans compter les accusations de contrefaçon et dommages et intérêts dont les ayant-droits de César ne manqueraient pas de me taxer. Ca va chercher combien tout ça ?
Conclusion : les enfants s’ennuient dans une parfumerie, et surtout ennuient les autres et sont trop jeunes pour apprécier.
A quand une interdiction ?
Suis-je la seule à déplorer une telle situation ?