Arpège
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Smell Talks : 1925, le parfum dans l’Exposition des arts déco
Un siècle après l'Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes, trois experts explorent son influence sur le parfum.
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On n’a pas envie de sentir l’odeur de la laque ? Ben moi, si, un peu... J’aime bien quand ça sent la mise en plis étagée, crêpée, lissée... Pour moi, ça fait partie de cette atmosphère "couture" et élégante avec les sensations de tissus précieux, etc. J’avoue ne pas avoir (pas trop) cette impression avec les vintages, sans doute parce que les aldéhydes sont un peu altérés, mais aussi parce qu’ils sont moins nets, plus "noyés" dans la richesse du fond. La version actuelle, plus sèche, doit les faire ressortir dans le cas d’Arpège. Pour le 5, c’est l’Eau Première qui me fait le plus penser à la laque. (Que je trouve très réussi, je le redis pour une fois que je trouve un flanker pas honteux !)