Les parfums "Amour impossible"
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
hier
Bonjour Dioressence ? Je ne sais pas si on peut le qualifier de sec mais une fine brume de(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
A y est, je me lance, c’est ma première intervention sur ce blog que je ne cesse de lire et relire tant me plaisent la qualité des intervenants, la pertinence des analyses....
Pour en revenir à cette histoire amour/haine autour des odeurs, il y a ceux que je ne supporte carrément pas, qui me rendent malade, au point de pratiquer un exorcisme "vade-retro Satanas" sur ceux et celles qui le portent, à savoir (attention, je vais commettre un crime de lèse-majesté !)Shalimar. Ca y est je l’ai dit (mais ça n’engage que moi !)
Sinon, dans la catégorie "immenses regrets", je citerai :
Musc Koublaï Khan : j’ai un ami qui a osé, qui le porte sans complexe. Sur lui, c’est à tomber à genoux. Et comme il a une démarche de félin, je ne vous dis pas l’effet qu’il fait sur la gente féminine (et masculine aussi d’ailleurs...). Lorsque j’ai voulu essayer MKK, on aurait dit que j’avais passé une nuit torride avec les éléphants du cirque Pinder. Une catastrophe, jusqu’à rendre malade les gens de mon entourage (qui se vengent en mettant Shalimar, nan, je plaisante...)
toujours dans la catégorie des "c’est pas juste", je souffre d’anosmie pour tous les parfums à base d’iris. Mettez-moi sous le nez "Iris Silver Mist" de Serge Lutens ou "Infusion d’iris" de Prada, je vous dirai que je ne sens absolument rien. Nada. Le néant. Un comble pour une adoratrice de parfums, surtout quand je lis tous les commentaires enthousiastes sur ces 2 parfums....