Champs-Élysées
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Une légende dit que le bois d’oud arriva au Japon porté par les eaux, et fut sorti du sable et du sel par des pêcheurs.
il y a 21 heures
Bonsoir, Je ne sais pas si vous habitez Paris mais il en reste un peu au Printemps Beauté, au(…)
il y a 23 heures
Epoustouflant vétiver fumé et élégant, un peu liquoreux. Haut de gamme.
hier
Bonjour à tous, Je n’arrive pas à croire qu’aucun avis n’ait jamais été publié sur cette petite(…)
Accord intercontinental
Lavis en rose
L’encens sans l’église
Je viens d’aller subrepticement ouvrir la petite armoire à parfums de ma mère pour m’asperger le bras de Champs-Elysées, et me voilà de nouveau enfant, lovée dans les bras de l’odeur rassurante et souriante qui consolait tous les chagrins et que j’inspire entre deux sanglots.
Je suis absolument incapable d’évoquer ce parfum de manière rationnelle mais je vous épargne tous les souvenirs et émotions qu’il fait surgir parce que vous risquez de vous embêter un peu au bout de la quatorzième page.
Je voulais surtout dire que j’étais contente (merci Jicky !) de voir un avis sur ce parfum un peu dénigré et qu’on oublie souvent face aux beautés plus tapageuses et moins sages des autres Guerlain.
Je me suis d’ailleurs souvent dit que son nom tape-à-l’oeil était un peu décalé, mais c’est surement parce que les Champs-Elysées m’évoquent plus le bruit et les nuées de touristes que le luxe, le calme, la volupté et les pompons délicats et solaires du mimosa. Et puis à chaque fois, je me rappelle aussi que c’est le nom de l’endroit où les héros, les poètes et tous les gens bien de la mythologie grecque se retrouvent après leur mort pour un repos bien mérité et je souris toute seule.