Me - Lanvin
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Interrogeant les mondes visuels et olfactifs, deux expertes échangent en écho au dossier publié dans le dix-huitième numéro de Nez, la revue olfactive.
hier
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
hier
Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
hier
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Jardin impressionniste
Lavande délavée
Église en flammes
Lucas Turin n’est heureusement pas le seul connaisseur en matière de parfum et il me semble que personne n’est intouchable, ceci dit j’ai fait l’effort de sentir ce "Me" ce week-end, sans avoir le courage d’aller jusqu’au bout de son évolution (j’ai du garder la mouillette 20 bonnes minutes quand même).
C’est peut-être la "tubéreuse" qui accentue son coté passablement lourdingue, une tubéreuse à la truelle et loin d’être naturelle ? (oui oui ceci est un euphémisme).
En tout cas j’ai trouvé l’effet assez catastrophique : non content d’être bien sucré et poisseux, il en rajoute dans un effet hyper brouillon, une espèce de brouet assez dissonant que je ne saurais analyser mais qui me semble très indigeste.
Il a en effet le mérite d’une certaine originalité et, j’image, d’une forme d’identité. Mais est-ce vraiment un critère ?