Les parfums de la honte
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
il y a 6 heures
c’est un joli parfum frais et doux. Je trouve qu’une femme de 50 ans et plus peut tout à fait le(…)
il y a 6 heures
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il y a 8 heures
Feuilles de tomate, cassissier et rhubarbe... J’imagine le parfum un peu âpre ? Ça doit être très(…)
Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
J’ai un peu ce type de problème même si je ne mettrais pas les mêmes mots dessus. Je dirais : certains parfums deviennent écoeurants alors que sur moulliette, ils sont super bons. Ca doit être lié au pH de la peau, comme le disait Opium dans un autre post : est-ce que vous avez le problème si vous parfumez uniquement vos vêtements ?
Alors après sur la toxicité, là je peux en parler en connaissance de cause, il n’y a aucun lien de cause à effet entre odeur et toxicité. 2 contre-exemples simples mais qui en général font mouche :
le gaz de ville n’a pas d’odeur (hé oui l’odeur est rajoutée pour alerter les gens en cas de fuite), et il est toxique si respiré. Bien d’autres molécules sont inodores et très toxiques (par exemple beaucoup d’accidents domestiques sont dûs à un mélange de soude et d’eau de javel, qui dégage un gaz inodore et mortel). Certes, les H2S sent l’oeuf pourri (à faible concentration), mais c’est quand vous ne le sentez plus que vous êtes intoxiqué (voire mort).
a contrario, votre camembert qui commence à couler pue énormément, mais personne n’est jamais mort d’avoir respiré cette odeur désagréable...
Donc, je ne pense pas qu’il faille craindre un dégagement d’un quelconque produit nocif à la vaporisation de vos parfums. Les tests nombreux avant l’édition d’un produit et les règles de l’IFRA (qui nous pourrissent un peu la vie mais ont quand même un rôle protecteur) se chargent de les exclure. Les molécules chimiques toxiques sont proscrites et celles pouvant éventuellement provoquer une réaction allergique ou une sensibilisation (comme la coumarine), sont inscrites sur l’étiquette, même si elles font partie d’un produit naturel.