Les parfums de la honte
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 2 jours
La vanille... quel pari risqué, sans compter le summum de l’originalité ! (Rires).
Brut de gousse
Sillage anthracite
Intime conviction
Bonjour,
Petite nouvelle ici après quelque temps à vous lire sans intervenir, votre aversion m’a fait réagir.
J’ai fait une formation à l’olfaction l’année dernière, un peu plus large que sur les seuls parfums, et basée sur des molécules odorantes uniques dans des flacons.
Nous étions une quinzaine de personnes attirées par ce sens particulier et donc plutôt "fin nez" reconnus par notre entourage. Or dans le groupe nous avons eu 2 personnes qui avaient une anosmie (incapacité totale de sentir)spécifique à l’un des 45 référents olfactifs, jamais détectée auparavant parce que très sélective.
L’une des 2 personnes nous avait fait la réflexion qu’elle n’aimait pas du tout Angel, ne le trouvait pas équilibré et se demandait bien ce que le reste du monde pouvait lui trouver... Et là vous commencez à vous douter d’où je veux en venir.
En fait cette personne est anosmique à l’éthylmaltol (la molécule qui donne l’odeur "sucrée-caramélisée"). Elle n’a jamais non plus senti une odeur quelconque à la barbe à papa (c’est le même composé).
La prof disait que l’anosmie à l’éthylmaltol est finalement relativement courante, c’est ce qu’elle rencontre le plus. Peut-être est-ce votre cas ?